Téléchargez cours et exercices corrigés sur les réseaux et transmissions, tutoriel complet sur 118 pages créé par l’université René Descartes.
ce cours présente de manière très progressive les éléments de réseau et leurs architectures. Il décrit les principes de base et s’attache à présenter les solutions les plus fréquentes d’Ethernet à Internet.
Mots clés : protocoles, TCP/IP, applications, Ethernet, interconnexion.
Objectif général :
- comprendre rapidement l’environnement réseau de l’entreprise
- Objectifs d’apprentissage
- savoir identifier les natures et modes de transmissions
- savoir situer les différents équipements de l’architecture d’un réseau
- savoir reconnaître les protocoles de communication utilisés et les services rendus
- comprendre les services réseau implémentés et les utiliser
- comprendre les éléments de configuration d’un réseau
- appréhender la sécurité dans les environnements réseaux
Plan de cours
- Introduction aux réseaux
- Nature des informations transmises
- Nature des transmissions
- Définition de la qualité de service
- Historique : les systèmes centralisés
- Historique : les réseaux de transmission
- Exercices
- Références
- Quelques corrigés
- Constitution d’une liaison simple
- Caractéristiques d’une transmission locale
- Caractéristiques des supports de transmission
- Principe de la transmission par transposition en fréquence
- Multiplexage
- Synthèse
- Exercices
- Quelques corrigés
- Les protocoles de liaison de données
- Méthode de contrôle de la validité : protection au niveau du code
- Méthode de contrôle de la validité : protection au niveau de la trame
- Synthèse
- Exercices
- Quelques corrigés
- Les concepts généraux des réseaux
- Réseaux à commutation
- Différents types de commutation : la commutation de circuits
- Différents types de commutation : commutation de messages et commutation par paquets
- Notion de services dans un réseau à commutation
- Fonctions de contrôle interne dans un réseau
- Exercices
- Quelques corrigés
- Description des réseaux de première génération
- Couche Liaison de données
- Interconnexion
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7 échantillonnage plus élevé augmente le volume de données à transmettre sans augmentation significative de la qualité. La quantification : elle attribue à chaque échantillon une valeur prise dans une échelle finie de valeurs. L’erreur effectuée dans l’approximation est appelée bruit de quantification. Ce bruit ayant une répercussion importante pour les faibles niveaux, l’échelle n’est pas une échelle linéaire. Pour le signal de parole dans le réseau téléphonique, 256 niveaux ont été retenus. Le codage : chaque échantillon sera codé sur un ensemble de bits. Pour permettre le codage des différentes valeurs, 8 bits sont nécessaires si l’on a retenu 256 niveaux. un exemple simple (sur 3 bits donc 8 niveaux) Une étude approfondie des caractéristiques de la parole montre qu’il est possible de la numériser à beaucoup plus faible débit. Dans les réseaux de téléphonie mobile GSM, la voix est ainsi transmise sur 13 kbit/s. Des codeurs récents atteignent 8 kbit/s avec une bonne qualité de restitution, voire 2400 bit/s pour des applications militaires où les contraintes de qualité sont moindres. De plus, au cours d’une conversation, un interlocuteur parle statistiquement la moitié du temps. Les pauses au sein des phrases, le détachement des syllabes (voir schéma de l’échantillon de parole) montrent que le signal vocal est fréquemment réduit à un silence. La voix n’est donc plus numérisée comme un flux continu d’informations mais comme un flux sporadique : des périodes d’activités durant en moyenne 1,4 s suivies de silence de 1,75 s en moyenne. Avec un codage à 8 kbit/s, le flux obtenu a ainsi un débit moyen d’environ 4 kbit/s. Exemple d’informations à transmettre : images fixes Une image est une information de type analogique facilement numérisable par découpage en pixels, (contraction de “ picture element ”) puis association d’un niveau de gris ou d’une couleur à chaque pixel. La taille d’un pixel est de 21×21 mm2 pour rendre la numérisation non détectable (résolution utilisée par les journaux). Une photographie de 15×10 cm2 contient donc 7000×4700 pixels environ. La représentation la plus simple, appelé bit-map, associe à chaque pixel un niveau de gris ou une couleur. En supposant la couleur codée sur 8 bits, notre photographie tient sur 260 Mbit environ ! Si une qualité moyenne est acceptée (taille du pixel plus importante), le codage est réduit à 1 Mbit.