Le piratage éthique ou le Hacker éthique, c’est un support de cours sur les technique de piratage utilisés par certains pirates dites éthiques pour découvrir et tester les failles d’un système informatique puis proposés des solutions pour les sécurisés. Document de formation sur 66 pages en PDF à télécharger gratuitement.
Le piratage fait partie de l’informatique depuis près de cinq décennies et c’est une discipline très large qui couvre un large éventail de sujets. Le premier événement connu de piratage informatique avait eu lieu en 1960 au MIT et, en même temps, le terme ‘Hacker’ avait été créé. Dans ce tutoriel, nous vous présenterons les différents concepts du piratage éthique et vous expliquerons comment les utiliser dans un environnement en temps réel.
Plan de cours
- L’Éthique Hacker
- Chapitre 1: L’éthique hacker du travail
- L’Éthique Hacker
- Citations
- L’Éthique hacker de Pekka Himanen
- Introduction
- Une activité productive originale
- Une nouvelle éthique du travail
- La coopération directe
- L’absence de dépendance salariale
- Nous sommes tous des hackers
- La « Hacker Attitude »
- La « hacker attitude », modèle social pour l’ère postindustrielle
- Les Enjeux de notre Créativité
- Les réseaux locaux d’innovation
- L’Éthique Hacker, on en parle
Ce tutoriel en PDF a été préparé pour les étudiants souhaitant apprendre les bases du piratage éthique et faire carrière en tant que pirate éthique.
Ce cours intitulé Le piratage éthique est à télécharger gratuitement, plusieurs autre documents sous la catégorie Divers sont disponibles dans ce site, que ce soit vous êtes débutant ou professionel ce cours de Piratage va vous aider à améliorer votre compétence et votre savoire faire dans le Divers.
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Extrait du cours :
Le troisième élément présent dans l’éthique hacker depuis son origine qu’on retrouve dans la citation « en facilitant l’accès à l’information ainsi qu’aux ressources informatiques autant que possible », est ce qu’on pourrait appeler l’ éthique de réseau ou n éthique. Cela comporte des idées comme la liberté d’expression sur le Net et l’accès au réseau mondial pour tous. De nombreux hackers informatiques ne soutiennent qu’une partie de cette n éthique, mais compte tenu de sa portée sociale, elle doit être comprise comme un tout. Son impact reste à être déterminé, mais elle touche le cœur des défis éthiques de l’âge de l’information.
Cet ouvrage est fondé sur une collaboration continue entre ses trois auteurs. Celle ci a pris différentes formes au cours des années (avec Manuel Castells au travers de recherches menées conjointement en Californie et avec Linus Torvalds pendant que nous nous amusions). L’idée d’un livre consacré à l’éthique hacker a germé lors de notre première rencontre à l’hiver 1998 à l’occasion d’un colloque organisé par l’université de Californie à Berkeley, bastion hacker traditionnel. À ce moment là, nous avons décidé de développer nos contributions qui traitaient des mêmes sujets que le présent opus. Nous avions décidé que Linus lancerait le bal en tant que représentant du hackerisme informatique.
Manuel présenterait sa théorie concernant l’ âge de l’information (portant notamment sur la montée de l’informationnalisme, le nouveau paradigme des technologies de l’information et une nouvelle forme sociale, la soci été en réseau). Quant à moi, j’examinerais la portée sociale de
l’ éthique hacker en mettant face à face le hackerisme informatique de Linus et la vision plus large de notre époque telle que Manuel l’a exprimée. Évidemment, chacun s’exprimerait en son propre nom.Le livre correspond à ce découpage: dans son prologue, « Qu’est ce qui fait avancer les hackers? ou la loi Linus », Linus — en tant que concepteur d’une des plus célèbres créations hackers, le système d’exploitation Linux — donne sa vision des atouts qui contribuent au succès du hackerisme. Manuel a passé les quinze dernières années à étudier notre époque avec pour résultat une œuvre en trois volumes L’ Ère de l’information (1998-1999).
Dans l’ épilogue de cet ouvrage « L’informationnalisme et la société en réseau », il présente pour la première fois les résultats de ses recherches avec quelques ajouts importants, le tout dans un langage accessible au lecteur non spécialisé. Mon analyse se trouve entre les contributions de Linus et Manuel et est divisée en trois parties selon les trois niveaux de l’ éthique hacker: l’ éthique du travail, l’ éthique de l’argent et la n éthique. Les lecteurs qui préféreraient avoir d’abord une description du contexte théorique, et non pas à la fin peuvent consulter tout de suite l’ épilogue de Manuel avant de me lire. Sinon, place à Linus.
Chapitre 1: L’ éthique hacker du travail Linus Torvalds explique dans son prologue que, pour le hacker, « l’ordinateur est en soi un plaisir », laissant entendre que le hacker fait de la programmation parce qu’il trouve cette activité intéressante, excitante et source de joie.L’ état d’esprit derrière les autres créations hackers est tr ès similaire. Torvalds n’est pas le seul à parler de son travail en utilisant des formules du genre « les hackers qui développent Linux le font parce qu’ils trouvent ça intéressant ». Par exemple, Vinton Cerf, qu’on présente souvent comme « le père d’Internet », explique ainsi sa fascination pour la programmation: « il y avait quelque chose d’extraordinairement attirant dans la programmation ».
Steve Wozniak, qui a été le premier à construire un véritable ordinateur personnel, raconte sans ambages sa découverte du monde merveilleux de la programmation: « c’ était simplement l’univers le plus intrigant ». Voilà l’état d’esprit général. Les hackers font de la programmation parce que les défis qu’elle génère ont un intérêt intrinsèque pour eux. Les problèmes liés à la programmation donnent naissance à une véritable curiosité chez le hacker et lui donnent envie d’en savoir plus.
Le hacker manifeste aussi de l’enthousiasme pour ce qui l’intéresse car cela lui procure de l’ énergie. Depuis les années 1960, au MIT, l’image classique du hacker est celle d’un type qui se lève au début de l’après midi pour se lancer avec ardeur dans la programmation et qui poursuit ses efforts jusqu’aux petites heures du matin. La description que fait la jeune hacker irlandaise Sarah Flannery de son travail autour de